Triste anniversaire

26 décembre 1801

Lord Elgin démonte le Parthénon

Le 26 décembre 1801 commence le démontage du Parthénon. Le responsable est un général et diplomate écossais de 35 ans, Thomas Bruce, septième comte d’Elgin.

Un premier navire, la frégate britannique Mentor, quitte le port grec du Pirée pour Londres avec à son bord de nombreux bas-reliefs enlevés au célèbre temple de l’Acropole…

On peut aujourd’hui contempler les « marbres Elgin », hélas mutilés et encagés, sous les voûtes sombres du British Museum… Mais les Grecs ne perdent pas espoir de les voir prendre place dans l’écrin de verre du musée de l’Acropole, construit par Bernard Tschumi au pied de la colline sacrée et inauguré le 20 juin 2009.

Holocauste

Beurk!
Sachant que la population mondiale est de l’ordre de 7,5 milliards d’habitants

68,79 milliards de poulets ont été abattus en 2018 dans le monde, 1,48 milliard  de porcs, 656 millions de dindes, 574 millions de moutons, 479 millions de chèvres et 302 millions de bovins.
Hongkong 137 kilos de viande par habitant en 2017
USA 124,1 kilos
Australie 121,6 kilos
Inde 3,8 kilos
Bangladesh 4,04 kilos

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Six taureaux torturés jusqu’à la mort: la corrida reprend

La corrida, c’est la torture devant un public de tous âges, d’animaux rendus quasi inoffensifs, suivie de leur mise à mort systématique. Hier, le 26 juillet 2020, avait lieu la première novillada depuis la sortie du confinement en France. Nos enquêteurs s’y sont rendus et ont rapporté des images d’une violence effarante. Les aficionados ont pu oublier le coronavirus en se réjouissant du massacre de six taureaux par des jeunes à peine adultes.

Hr blog

Première novillada de l’année

Car une novillada, c’est l’une des premières corridas de jeunes toreros, tout juste sortis d’une école de tauromachie face à de jeunes taureaux. L’an dernier, nous avions infiltré celle de Nîmes et montré à tous comment on apprend, parfois sous la contrainte, à des enfants à tuer des veaux apeurés.

Taureaux, chevaux, tous perdants dans l’arène

Si les chevaux voyaient le taureau, la violence, le sang, ils se cabreraient et fuiraient. Mais ils sont dressés pour suivre aveuglément les ordres des picadors, qui les emmènent au-devant du danger. Les yeux cachés, ils n’ont d’autre choix que d’obéir sous peine d’être rudoyés. C’est ainsi que ces humains aiment les animaux : soumis et dociles, utilitaires. Qu’ils reçoivent les coups des taureaux luttant pour survivre ou de leurs cavaliers, les chevaux sont, eux aussi, perdants à la corrida.

Parfois à six contre un, armés et organisés, ils humilient et tuent…

Cette année, rien n’a changé. La cruauté, une fois de plus, s’est montrée au grand jour. Six taureaux ont perdu la vie coup sur coup sous les « hourras » et les « bravos ». Mutilés, vidés d’une grande partie de leur sang… dans la terreur et le désespoir, avant que leurs cadavres soient traînés tout autour de la piste, pour assouvir le goût du sang de ces assoiffés de violence gratuite.

Notre enquêteur sur place analyse :

« Les taureaux refusent de se battre. Ils fuient l’affrontement. Ils ne font que réagir aux stimulations des humains qui les entourent, les amenant à un acte de combat. Mais c’est uniquement motivé par la peur : ils n’ont d’autre choix que celui-là. Se défendre et répondre à une effroyable douleur. »

Il ne manquerait plus que ce soit sale…

L’un après l’autre, ils tenteront de fuir, puis acculés, provoqués de toutes parts, ils seront forcés d’avancer dans le piège pervers tendu par ces primates humains, et mourront dans d’incommensurables souffrances. Où est la Culture dont parlent nos ministres, dans cette « tradition » perverse qu’est la jouissance de voir mourir un être à petit feu de la pire manière ?

La puntilla, sorte de poignard à lame courte et large, enfoncée entre les deux cornes puis secouée dans le crâne de ces pauvres êtres condamnés, sonnera paradoxalement le glas de leur souffrance. Pendant l’ultime tour de piste, les crottes seront ramassées : il ne faudrait pas que le sol soit sale pour la mise à mort suivante…

68

Envie …encore;.. de partager le mot d’humeur de l’ami Jacques:

« Arrêtez de mettre les 68 hard dans le même sac pourri : les années 70 furent « 1 moment de grâce, d’avant le sida…», mais certains «paternalistes lubriques» ont profité du mouvement pour reproduire les vieux schémas de domination.
Trop facile de réduire le cas Matzneff, en défense pour certains ou en justification pour d’autres, au « jouissons sans entrave » de mai 68.
Ceux qui ont porté Matzneff au pinacle, ceux des «69 signatures prestigieuses», dont Jean-Paul Sartre, Roland Barthes, Bernard Kouchner, Patrice Chéreau, Gabriel Matzneff, Jack Lang, Catherine Millet et même Simone de Beauvoir qui prenaient la défense de trois hommes accusés d’avoir fait des films pédopornographiques avec des jeunes de 12 à 14 ans, et participé aux scènes. De «simple affaire de mœurs» sur des «enfants consentants» selon les signataires, ne sont pas et n’ont jamais été des 68 hard.
Non, il s’agissait d’une poignée d’habitués du Flore, du carré des éditeurs et d’auteurs du faubourg Saint-Germain, les critiques littéraires, des copains et des coquins, avec quelques éléments féminins, comme me l’a dit mon vieux compagnon Gérard Belorgey, ex-préfet, devenu secrétaire-général du SNE, syndicat national des éditeurs, « ils sont pires que les politiques… »
Croupis et rance pour parodier l’un d’eux… Philippe Sollers…
Certains étaient Mao comme Philippe Sollers… d’autres coco comme Kouchner…
Ils se tiennent par la barbichette, se soutiennent, accompagnés par celles et ceux de ce petit Paris chic qui se regarde le nombril, se vivent comme le centre du monde de la pensée alors que peu d’entre eux ou d’entre elles ne seraient édités dans d’autres pays. Dans la seconde moitié du XXe siècle pas lèche de grandes plumes en France.
Avec Matzneff, petit écrivain de salon, qui vénère sa bite, c’est le grand frisson garanti à bon compte, la transgression sur papier qui égaie ces petits bourgeois, avec lui c’est le buzz, comme on le dit aujourd’hui dans les médias, mais a-t-il des lecteurs ? Voir plus bas. Il vit dans un appartement de la ville de Paris, reçoit des subsides du Ministère de la culture et de l’Académie, se fait rincer chez Lipp par ses amis.
Une raclure !
Un vil prédateur masqué sous le vernis du dandy !
Et qu’on ne vienne pas me parler de censure, de puritanisme, d’atteinte à la liberté de création, de délation comme le dit la grande-prêtresse des lettres déchue du Monde : Josyane Savigneau, mal français depuis les temps noirs de l’Occupation ose-t-elle écrire sur Twitter, faire l’artiste ne place quiconque au-dessus des lois de la République.
Notre jouir sans entraves c’était entre adultes consentants !
Tout le reste n’est que vile littérature pour paternalistes lubriques…
Extraits:

Synchronicité

D’abord, des regrets pour les 2 fautes d’orthographes présentes dans le mail de notification précédent écrit trop rapidement et vite corrigées dans le blog.

Allumé par hasard, la télé, la 3, pendant la « sieste » post déjeuner…
Rencontré l’émission soit disant humoristique de Lemoine et de ses acolytes, certains limite débiles et tous puants de suffisance « parisienne » derrière leurs rires forcés…
Entendu une « blague » de Mme Joly et une chanson de Monsieur Sardou.
-La blague « Cantal » de Mme Joly . Bien sûr à entendre au second degré…mais très instructive au troisième degré…des parisiens qui se vautrent dans le fumier cantalou en se promettant au  grand jamais de ne plus aller respirer l’air pollué de Paris…
-La chanson de Monsieur Sardou qui nous assure, lui-même habitant en France, que la « France n’est pas tout de même seulement peuplée de 50 millions d’abrutis, car en France il y a Paris… etc etc ».

D’abord ça console de savoir qu’en France, il n’y a pas que des bouseux comme nous..

Ensuite, à la suite du post précédent évoquant les amérindiens et la réserve de gaulois de la planèze sanflorienne, ça fait penser à Jung et à sa synchronicité….

 

Coût des ex-Premiers ministres

Une motivation supplémentaire pour payer nos impôts tout en constatant la misère des rues.
Une raison de plus pour accepter qu’on revienne sur les contrats passés dans le cadre des retraites des uns et des autres, en particulier pour les gens du privé qui ont cotisé à l’Arco depuis des dizaines d’années, dont on envisage d’amputer les retraites de sommes exorbitantes malgré les engagements antérieurs.

Nos ex-Premiers ministres nous ont coûté en 2018,  3,6 millions d’euros!
143.408 pour M. Cazeneuve (5 mois à Matignon!!), 117.995 pour Monsieur Raffarin, 110.808 pour Monsieur de Villepin, 103.304 pour Monsieur Fillon, 102.420 pour Monsieur Ayrault, 96.307 pour Monsieur Jospin, 90.472 pour Madame Cresson, 87.752 pour Monsieur Valls, 69.106 pour Monsieur Balladur et 60.454 pour Monsieur Juppé.

En plus y’a les ex-Présidents qui nous coûtent bien plus!!!

Elysée

J’espère que cette vaisselle et ces couverts vous plaisent….
Dorés à l’or fin, ils valent bonbon et vous les avez payés ..

Je me dois de préciser suite à une remarque peu amicale qui m’a été adressée que ces couverts n’appartiennent pas à la commande que viennent de passer les hôtes actuels de l’Elysée. Je ne l’ai jamais prétendu; ça n’enlève rien au fait que ces ustensiles luxueux utilisés par certains de nos élus sont en décalage avec la détresse économique de beaucoup de Français.
Pour ce qui est de la fameuse commande récente, puisqu’on en parle, ci-dessous un article du « canard enchaîné » l’évoque
. Là encore on peut y voir un certain « décalage »…