Quiz pour rire

Quiz pour rire un peu, emprunté à Isabelle Grégor d’Hérodote  » les tribulations des femmes à travers l’Histoire« 
Bonne réponse donnée à la demande   🙂
1 – Au début du christianisme, on dit que la femme est « la porte du diable », c’est-à-dire :

 elle est la reine des courants d’air
 elle est une alliée fidèle du diable
 elle laisse entrer toutes les médisances dans la maison

2 – Pour les Pères de l’Eglise, l’idéal reste la virginité, même si on reconnaît le bienfait du mariage :

 il rend plus simples les réunions de famille
 il permet de perpétuer l’espèce
 il évite de multiplier les maisons individuelles

3 – Les Germains, à l’époque, avaient une coutume étonnante :

 ils se contentaient d’une seule épouse
 ils ne se mariaient qu’avec des veuves
 ils faisaient semblant d’enlever leurs futures épouses

4 – Charlemagne s’inquiétait pour ses filles. Il leur a donc donné :

 le conseil de ne jamais se marier
 une très bonne instruction
 des maris très benêts

5 – La fin’amor part du principe que, pour conquérir une femme, il faut :

 se montrer rusé comme un renard
 user de séduction comme un preux chevalier
 faire preuve de violence comme un soudard

6 – Pour la femme du XIIe siècle, la vie se fait plus douce. En effet,

 les mœurs deviennent particulièrement libres
 on a enfin inventé la casserole
 elles sont débarrassées de leurs maris, partis en croisade

7 – Une des premières femmes politiques est :

 Mathilde de Toscane, qui a accueilli le pape en détresse chez elle
 Mathilde de Bayeux, qui a brodé une bande dessinée à la gloire de son mari Guillaume
 Mathilde de Brel, qui est retournée au combat

8 – Dans le nord de l’Europe, les femmes pouvaient faire le choix du béguinage, c’est-à-dire :

 passer d’une amourette à un autre
 s’installer dans une communauté où elles bénéficiaient d’une certaine indépendance
 changer d’identité et tout recommencer à zéro

9 – Les monastères féminins sont généralement liés à des monastères masculin :

 pour partager les légumes
 pour plus d’harmonie dans les chorales
 pour des raisons de sécurité

10 – Au IXe siècle, on légifère pour éviter les consanguinités. Certains souverains en profitent :

 pour mettre madame dehors
 pour refuser la main d’une cousine fort laide
 pour couper des branches à leur arbre généalogique

11 – Aliénor d’Aquitaine aimait rassembler des cercles poétiques dont l’un des thèmes était :

 la femme doit-elle laver les chausses de son époux ?
 l’amour est-il compatible avec le mariage ?
 la séparation intervient-elle toujours après sept ans de réflexion ?

Le babouin de Buffon

Cet article est extrait du blog de Luc Perino, médecin généraliste

« Le plus grand talent de Buffon a été celui de vulgarisateur.
Ses 36 volumes de l’Histoire naturelle sont incontestablement le premier grand ouvrage de vulgarisation. Ses pairs lui ont reproché d’avoir trop voulu plaire au grand public. Il en est ainsi de certains chercheurs qui confondent rigueur et austérité. C’est pourtant grâce à Buffon que sont nées de nombreuses vocations de chercheurs et que les souverains du monde entier ont financé le Muséum d’Histoire naturelle de Paris dont il fit le plus beau musée de son époque et le plus dynamique centre d’enseignement et de recherche en sciences de la vie.

Sa seule « erreur » a été de refuser une quelconque parenté entre l’Homme et les animaux. Il a pourtant enfreint cette règle au moins une fois d’une amusante manière. Ruiné par le gestionnaire de sa forge, il dut passer par des bailleurs de fonds pour financer ses recherches. L’un d’entre eux, un soyeux lyonnais, nommé Babouin, lui intenta un procès pour le remboursement de ses créances. Il s’est vengé dans la rédaction de son Histoire naturelle, en donnant le nom de « babouin » au singe cynocéphale que chacun connait, et il en fit une description abominable. Les naturalistes ignoraient alors la pratique de l’infanticide chez certains mammifères et primates. Or le babouin est l’une des espèces ou l’infanticide pour soumettre les femelles est un comportement fréquent. Si Buffon l’avait su, ne doutons pas que sa description eut été encore plus abominable.

Comme les croyances religieuses ou les soumissions politiques, les problèmes financiers peuvent pervertir la science.  🙂

Buffon, qui refusait toute ascendance commune entre hommes et singes, a fait descendre le babouin d’un soyeux lyonnais ! »

Calamiteux

Oui calamiteux pour lui et pour notre pays, mais si drôle!

Alors qu’Emmanuel Macron a été testé positif au Covid-19 ce jeudi 17 décembre, on a appris que le chef de l’État a accueilli mercredi soir, pour un dîner informel à l’Élysée, une dizaine « des plus hauts dirigeants de la majorité et les principaux responsables du cabinet de l’Élysée », d’après une information du Point, confirmée par d’autres médias. Le tout en pleine période de couvre-feu. Sur les réseaux sociaux, c’est la tempête.

« Faites ce que je dis, pas ce que je fais. » Un élu RN résume sur les ondes de France Info l’information selon laquelle le président Emmanuel Macron a reçu, mercredi 16 décembre au soir à l’Élysée, une dizaine de personnes pour un dîner informel.

La nouvelle, rendue publique par nos confrères du Point, rapporte qu’ont participé à ce repas les « plus hauts dirigeants de la majorité et les principaux responsables du cabinet de l’Élysée », parmi lesquels Christophe Castaner, Richard Ferrand, Jean Castex, Stanislas Guérini, François Bayrou, Alexis Kohler, ou encore Thierry Solère.

Un repas qui s’est quelque peu éternisé, jusqu’à minuit et demi, alors que le couvre-feu s’applique officiellement en France depuis le 15 décembre. Surtout, il dépassait largement la jauge fixée par l’exécutif lui-même, de six adultes pour un repas dans une même pièce, préconisée pour la période des fêtes.

« On était dans la salle des fêtes de l’Élysée et la table faisait 15 mètres de long, on était tous à trois mètres les uns des autres avec des micros et des masques, sauf pendant le repas bien sûr », a toutefois précisé l’un des participants à cette réunion informelle à nos confrères. Mais le mal est fait.

« La règle des six convives maxi ne s’applique pas à l’Élysée »

Alors que le président de la République demande aux Français de faire des efforts au moment des fêtes, que les contaminations stagnent, voire repartent à la hausse quand elles sont censées baisser, l’exécutif donne l’image d’une catégorie hors-sol qui ne s’applique même pas ses propres règles. C’est l’avis de beaucoup d’internautes et de personnalités politiques de l’opposition sur les réseaux sociaux.

Sagesse?

« L’autocritique, la dérision, l’humour noir et l’indignation sous toutes ses formes sont de saines attitudes, jubilatoires et constructives dans un monde en crise, où nous sommes tant, à nous « prendre au sérieux »… Rions, moquons nous de nous pour ne pas tomber dans une société rigidifiée, immobilisée dans ses certitudes !!! Tellement de choses indignent, font sortir de nos gongs… que l’ironie, la dérision, se moquer de soi-même… sont des réactions saines pour ne pas devenir des moutons bêlants; être en vigilance constante… et il y a de quoi faire !!.  »

De  fanfanouche24, membre de Babelio