Covid-19 : le généticien Axel Kahn critique la stratégie vaccinale
Sur Europe 1, Axel Kahn appelle à cibler les « personnes hésitantes » pour leur apporter « transparence » et « enthousiasme » à propos du vaccin.
Publié le Le Point.fr
« Le généticien Axel Kahn a regretté mercredi 30 décembre que le gouvernement n’adopte pas une stratégie plus offensive pour persuader les Français de la nécessité de se faire vacciner contre le Covid-19.
La stratégie prudente du gouvernement « n’est pas adaptée à une situation qui est très périlleuse », souligne sur Europe 1 le président de la Ligue nationale contre le cancer, alors même, dit-il, qu’il y a en France entre 30 et 35 % de « vaccinosceptiques ».
Apporter « transparence » et « enthousiasme »
Axel Kahn appelle à cibler les « personnes terriblement hésitantes ». « Il faut certainement leur apporter la vérité et la transparence, mais également de l’enthousiasme », ajoute-t-il, reprochant à l’exécutif d’« avancer à touts petits pas ».
Avec cette attitude, « on va les convaincre qu’en effet, si on va si lentement, c’est qu’on n’est pas sûr de soi et qu’il y a un danger », observe-t-il. »
Quelle belle certitude de Monsieur Kahn!!!!
Le « grand savant » (!) lui il sait, c’est sûr!
Pour ma part, je ne peux pas avoir autant de certitudes et j’aurais aimé entendre une autre argumentation en faveur du vaccin à ARNm.
Les deux extraits suivants semblent aussi aller dans le sens d’une interrogation légitime.
En outre, je m’interroge sur ce que deviendra l’efficacité du vaccin via la production d’une protéine Spike par notre organisme (dans le cytoplasme des cellules du bras qui reçoivent l’injection) (considérée comme assez proche de celle du virus), sachant que celle du virus modifie sa structure par mutation. Les anticorps créés seront-ils toujours efficaces?
Extrait d’un article du site FUTURA SANTE:
« Comme elle est récente, cette technologie présente des inconvénients qui sont surtout liés à un manque de recul scientifique sur son utilisation. Comme expliqué plus haut, la vaccination à ARN messager active aussi bien la réponse immunitaire adaptative qu’innée. Mais la forte production des interférons, conséquence de l’activation des TLR7, augmenterait aussi l’activité des ribonucléases, des enzymes qui découpent les ARN. Les ARN messagers vaccinaux qui perdent leur bulle lipidique ou ne sont pas encapsulés au moment de l’injection auraient donc plus de chance d’être détruits avant même d’entrer dans les cellules.
Certaines études cliniques ont rapporté des évènements indésirables de grade 3, c’est-à-dire qui invalident totalement ou menacent la vie du patient, pour deux vaccins à ARNm destinés à lutter contre la rage et les virus H10N8 et H7N9 alors qu’ils étaient en phase 1. »
Extrait d’un article paru sur le site de l’INSERM:
« Des inquiétudes ont également été soulevées concernant les effets secondaires à long terme encore mal documentés de ces vaccins. Il faut dans un premier temps souligner que les personnes qui seront vaccinées dès le début de l’année 2021 seront suivies de près par les médecins pour répertorier tout effet indésirable qui pourrait se produire.
Par ailleurs, il est important de préciser que l’ARN injecté via le vaccin n’a aucun risque de transformer notre génome ou d’être transmis à notre descendance dans la mesure où, comme mentionné plus haut, il ne pénètre pas dans le noyau des cellules. Or, c’est dans ce noyau cellulaire que se situe notre matériel génétique. »