Un livre à lire absolument: » L’urgence climatique est un leurre » de François Gervais (Physicien, professeur émérite à l’université de Tours, directeur d’un laboratoire du CNRS (UMR 6157).
La terre se réchauffe dangereusement et si nous ne faisons rien, demain verra la fin du monde.
En matière de climat, le marché de la peur est florissant. Une peur bien utile, véritable instrument de pouvoir fondé sur la manipulation des émotions au détriment de la raison.
Faut-il en effet rappeler quelques-unes des prophéties émises en 1970 par les premières assises écologistes du « Jour de la Terre », pour l’horizon de l’an 2000 : plus une goutte de pétrole, généralisation des famines sur tout le globe et réduction de l’espérance de vie à 49 ans aux Etats-Unis…
Sans oublier le cri d’alarme lancé en 2008 par Al Gore, prix Nobel de la Paix 2007 et ancien vice-président américain, qui annonçait la disparition totale de la calotte glacière estivale au pôle nord en 2013…
Pour François Gervais, s’il y a une urgence, c’est celle de retrouver nos esprits…scientifiques. Car, contrairement à ce que disent les responsables du GIEC, il est absolument faux d’affirmer qu’il existe un « consensus » des chercheurs autour des questions climatiques. Ce livre le prouve en détails. Le catastrophisme des modèles virtuels actuels, source de politiques dispendieuses dont certaines n’ont de durable que l’affichage, est en revanche et sans aucun doute une vraie catastrophe annoncée.
Ci-dessous l’analyse d’un lecteur qui me parait pertinente:
« Ayant compris depuis longtemps que toute science financée dans un but politique prend le risque de devenir un lyssenkisme au service de ceux qui la financent, j’avais un à priori très négatif sur le GIEC donc un fort doute sur la raison anthropique d’un réchauffement climatique. Après la lecture de cet ouvrage étayé et sourcé, et pour mon plus grand plaisir rédigé dans un style clair et agréable, mes doutes ne sont plus, le GIEC est le moteur d’une nouvelle religion. Cette nouvelle religion se base sur la croyance que les prédictions de modèles théoriques calés pour prouver un réchauffement, et dont bien évidemment on tait au public les marges d’incertitudes, valent plus que la réalité des mesures et des faits scientifiques qui les contredisent, faits exposés dans cet ouvrage. Heureusement les dernières années montrent une augmentation considérable du nombre de publications scientifiques qui réfutent ou minimisent le rôle anthropique du réchauffement, ce qui laisse espérer que la science, la vraie, celle pour qui le scepticisme est une qualité, que cette science tente de reprendre le dessus malgré les menaces et les anathèmes des fanatiques de la nouvelle foi. Tôt ou tard des scientifiques courageux, François Gervais est l’un d’entre eux, réussiront à faire comprendre à tous l’énormité des élucubrations des mercenaires du GIEC. Ce jour là je suis curieux de voir comment le citoyen réagira quand, comme moi, il réalisera que la politique anti-carbone qu’il a subi, les dizaines de milliards d’euros de taxes qu’on lui a soutiré, les investissements dans des sources d’énergies intermittentes qui ont rendu son pays dépendant des producteurs de métaux rares (la chine en tête), que tout cela, toute cette gabegie économique, n’était finalement que le résultat d’une gigantesque escroquerie idéologico-financière. »
Sur le même thème, lire aussi ‘Contre l’écologisme » de Bruno Durieux. Et il y en a d’autres qui s’élèvent contre cette manipulation idéologique .