Synchronicité

D’abord, des regrets pour les 2 fautes d’orthographes présentes dans le mail de notification précédent écrit trop rapidement et vite corrigées dans le blog.

Allumé par hasard, la télé, la 3, pendant la « sieste » post déjeuner…
Rencontré l’émission soit disant humoristique de Lemoine et de ses acolytes, certains limite débiles et tous puants de suffisance « parisienne » derrière leurs rires forcés…
Entendu une « blague » de Mme Joly et une chanson de Monsieur Sardou.
-La blague « Cantal » de Mme Joly . Bien sûr à entendre au second degré…mais très instructive au troisième degré…des parisiens qui se vautrent dans le fumier cantalou en se promettant au  grand jamais de ne plus aller respirer l’air pollué de Paris…
-La chanson de Monsieur Sardou qui nous assure, lui-même habitant en France, que la « France n’est pas tout de même seulement peuplée de 50 millions d’abrutis, car en France il y a Paris… etc etc ».

D’abord ça console de savoir qu’en France, il n’y a pas que des bouseux comme nous..

Ensuite, à la suite du post précédent évoquant les amérindiens et la réserve de gaulois de la planèze sanflorienne, ça fait penser à Jung et à sa synchronicité….

 

Thanks Giving! Saint Flour!

Une pensée, pour les Amérindiens que les Yankees disent honorer aujourd’hui. Cela pour les remercier d’avoir accueilli et nourri les colons au tout début de l’invasion.
Avant de les honorer aujourd’hui, ils ont su les remercier…à leur façon… entre temps, putain con!
Une pensée,pour la gare de Saint-Flour (Cantal) qui, désormais,  n’a plus de guichet SNCF…normal seulement 6.000 habitants…normal les bouseux n’ont qu’à réserver en ligne…sauf que.. internet …  pas toujours présent entre les bouses… mais bon…le fric est ailleurs, du côté des TGV…
Le rapport entre les deux sujets?
Cherche bien, tu vas trouver, putain con!

Blagounette

Plus profond qu’il n’y paraitrait….. 🙂
Le secret d’un mariage réussi
Un couple célèbre son 50e anniversaire de mariage. Leur tranquillité a toujours été le sujet de conversation dans leur village. On disait :
– Quel couple pacifique et amoureux.
Un journaliste local décide donc de faire un reportage sur ce couple, afin de connaître le secret de leur bonheur.
– Eh bien, ça remonte à notre voyage de noce, explique le mari. Nous visitions le Grand Canyon et avons décidé de le traverser à dos d’âne. Nous n’avions pas encore parcouru une grande distance quand l’âne de ma femme trébucha. Ma femme, sur un ton tranquille, dit :
– Première fois.
L’âne se releva et nous avons continué. Après une courte distance l’âne trébucha à nouveau. Une fois de plus, ma femme, sur un ton tranquille, dit :
– Seconde fois.
L’âne se releva à nouveau et nous sommes repartis. Nous n’avions pas fait la moitié d’un mile que l’âne trébucha une 3ème fois.Tranquillement, ma femme sortit un pistolet de sa bourse et tua l’âne. C’est alors que je me suis fâché et que je lui ai dit ce que je pensais de la façon dont elle avait traité cette pauvre bête, quand soudain, elle m’a regardé et m’a dit d’une voix tranquille :
– Première fois.
Depuis ce jour, nous vivons heureux !

L’heure de la sortie

Superbe réalisation de S. Marnier!
Ce film angoissant met en évidence la stupidité des hommes qui se suicident, non pas seulement par appât du gain de certains, mais par volonté suicidaire, sous le regard désespéré et lucide de trop peu.
A cet égard, entendez la prophétie de Dopey, les amis:
Le jour est proche où Massif Central et Plaine d’Alsace vont être bouleversés et dénaturés par l’extraction du lithium, à la poursuite de cette pseudo-utopie et vraie connerie du transport tout électrique et de la communication dématérialisée entre les hommes et entre les hommes et les objets.
Et pendant que les faux scientifiques amusent les blaireaux jouisseurs les « clouds » réchauffent toujours plus l’atmosphère.

Coût des ex-Premiers ministres

Une motivation supplémentaire pour payer nos impôts tout en constatant la misère des rues.
Une raison de plus pour accepter qu’on revienne sur les contrats passés dans le cadre des retraites des uns et des autres, en particulier pour les gens du privé qui ont cotisé à l’Arco depuis des dizaines d’années, dont on envisage d’amputer les retraites de sommes exorbitantes malgré les engagements antérieurs.

Nos ex-Premiers ministres nous ont coûté en 2018,  3,6 millions d’euros!
143.408 pour M. Cazeneuve (5 mois à Matignon!!), 117.995 pour Monsieur Raffarin, 110.808 pour Monsieur de Villepin, 103.304 pour Monsieur Fillon, 102.420 pour Monsieur Ayrault, 96.307 pour Monsieur Jospin, 90.472 pour Madame Cresson, 87.752 pour Monsieur Valls, 69.106 pour Monsieur Balladur et 60.454 pour Monsieur Juppé.

En plus y’a les ex-Présidents qui nous coûtent bien plus!!!

El Khatmi

Amin El Khatmi « Combats pour la France »

« Fonctionnaires épuisés, classes populaires abandonnées, autorité de l’État contestée, liberté d’expression et laïcité menacées, Juifs et homosexuels attaqués, droits des femmes bafoués ; j’ai décidé de vous parler de cette France qui souffre, s’abîme et menace de faire sécession, pendant qu’une partie de la gauche se vautre dans le déni en feignant de ne pas voir les problèmes.

Mais parce que je suis convaincu que nous pouvons nous en sortir, j’ai également décidé de vous parler du génie de notre devise républicaine, qui permet d’échapper à l’assignation identitaire, de cet idéal universaliste mondialement admiré, de notre patrimoine, de notre culture, de notre système de protection sociale, de ce goût immodéré pour l’irrévérence et la satire ; bref, de tout ce qui fait de la France un pays extraordinaire.

Moi, Amine El Khatmi, Français, fils d’immigrés marocains et élu de terrain à Avignon, j’ai décidé de lancer un cri d’alarme et un appel au sursaut. Le cri d’alarme pour dénoncer la montée du communautarisme et des replis identitaires. L’appel au sursaut pour que se lève une gauche républicaine et sociale, féministe et universaliste, laïque et écologiste, qui en finira avec les atermoiements et les reniements qui ont conduit à l’impasse.

Mais, pour cela, il faudra faire preuve de courage politique et oser des solutions radicales. Je propose notamment la mise sous tutelle des territoires perdus de la République. »

La cravate

Une petite blagounette empruntée à Félicie Rivet…

« Un djihadiste en fuite, désespéré, pour trouver de l’eau, erre laborieusement à travers le désert syrien quand il voit quelque chose au loin.
Espérant trouver de l’eau, il se précipite, et se retrouve face à un petit vieillard juif très frêle, debout devant un présentoir de fortune, avec des cravates à vendre.
Le djihadiste lui demande: « Tu as de l’eau ? »
Le juif lui répond: « Je n’ai pas d’eau. Tu veux acheter une cravate ? Elles sont à 5$ seulement.”
Le djihadiste, hystérique, lui hurle dessus :
« Idiot d’infidèle, je n’ai pas besoin d’une telle parure qui incarne l’Occident dépravé ! Je crache sur tes cravates, je crache sur l’Occident, j’ai besoin d’eau ! »
– « Désolé, je n’en ai pas – seulement des cravates – de la pure soie et seulement $5 ! »
– « Nadin nemouk !! Malédiction sur tes cravates, je devrais te décapiter avec tes cravates, et sortir la vie hors de toi, mais je dois conserver mon énergie pour trouver de l’eau ! »
– « Ecoute, dit le petit vieillard juif, bien que tu ne veuilles pas m’acheter une cravate, que tu me haïsses, que tu menaces ma vie et m’appelle infidèle – je vais te montrer que je suis au dessus de tout cela. Si tu continues sur cette colline à l’est pendant environ trois kilomètres, tu trouveras un restaurant Libanais. On y mange très bien et tu trouveras toute l’eau glacée dont tu as besoin … Va en Paix. »
En le maudissant encore, le djihadiste désespéré se dirige vers la colline.
Quelques heures plus tard, le vieux juif qui n’a pas vendu beaucoup de cravates remballe son présentoir et rentre chez lui. En chemin, il croise le djihadiste rampant dans le sable, en train de mourir.
– “Qu’est-ce qui t’arrive ?”
Dans son dernier souffle, le djihadiste murmure : « Ils n’ont pas voulu me laisser entrer sans cravate.”

Ernest J. Gaines

Un extrait de « Dites-leur que je suis un homme » en hommage à Ernest J. Gaines qui vient de quitter ce monde:

« Tu sais ce que c’est qu’un mythe, Jefferson ? lui ai-je demandé. Un mythe est un vieux mensonge auquel les gens croient. Les Blancs se croient meilleurs que tous les autres sur la terre ; et ça, c’est un mythe. La dernière chose qu’ils veulent voir, c’est un Noir faire front, et penser, et montrer cette humanité qui est en chacun de nous. Ça détruirait leur mythe. Ils n’auraient plus de justification pour avoir fait de nous des esclaves et nous avoir maintenus dans la condition dans laquelle nous sommes. Tant qu’aucun de nous ne relèvera la tête, ils seront à l’abri. Ils sont à l’abri avec moi. Ils sont à l’abri avec le révérend Ambrose. Je ne veux plus qu’ils se sentent à l’abri avec toi.  »