FOG dans son éditorial du Point:
« La France sera-t-elle toujours la France quand ses derniers villages auront été vidés, ses églises vendues, toutes ses fermes abandonnées pour être remplacées par des structures automatisées et digitalisées? L’affaire n’est pas seulement sociale, écologique, économique. Elle est identitaire, j’allais dire métaphysique. Quand, après le final du requiem pour les paysans, sonneront les ultimes notes de leur glas, on pourra toujours chercher les racines du pays, elles auront disparu à jamais, emportées par la déshumanisation et la révolution numérique. »
Vive le « progrès »! Merci les « progressistes »!