M. Cyrulnik

L’article précédent étant trop long, les notifications par mail de la publication ne sont pas arrivées à leurs destinataires.
Celui-ci, plus court, permettra peut-être d’attirer l’attention et incitera peut-être à lire le précédent qui parait très édifiant.

Le journaliste scientifique Nicolas Chevassus-au-Louis explique dans son enquête que Boris Cyrulnik raconte « peu ou prou la même chose » dans ses 18 livres (2,5 millions d’exemplaires vendus) avec de nombreuses banalités, des contradictions et des références, notamment scientifiques, défaillantes (non référencées, invérifiables). Son statut de scientifique y est aussi questionné puisque : il n’exerce plus comme médecin depuis 1999, il n’est pas éthologue (ce qu’il confirme au journaliste) et il n’est guère cité dans les publications académiques. Concernant la notion empruntée de résilience, le journaliste ajoute qu’il se contente « dans ses livres d’enchaîner les anecdotes sans esquisser la moindre théorisation sérieuse » alors même que des discussions ont cours dans le milieu scientifique.
La chercheuse indépendante Odile Fillod a consacré deux billets critiques aux thèses et au parcours de Boris Cyrulnik.

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