« Ce déni de justice, ce tort extrême de la nature, laquelle par l’apparence d’une surface, par une ombre, un fantôme, un songe, un enchantement circéen mis au service de la génération, nous donne l’illusion trompeuse de la beauté. Une beauté qui tout ensemble vient et passe, naît et meurt, fleurit et se fane : elle n’est belle qu’un très court moment, et au dehors, car au-dedans elle ne contient de vrai et de durable qu’une cargaison, un magasin, un entrepôt, un marché de toutes les malpropretés, toxiques et poisons qu’a jamais pu engendrer cette marâtre nature… »