Schopenhauer

« La pensée de la cessation de notre existence .. doit raisonnablement aussi peu nous attrister que la pensée que nous n’aurions jamais existé .. Il faut envisager la vie comme une sévère leçon qui nous est infligée »
Extrait – Du néant de la vie

La raison et la lucidité face à l’idéalisme, pour sortir de celui-ci.
Pour moi, dur, dur…

Une réflexion sur « Schopenhauer »

  1. La pensée en question ne peut vous faire souffrir que si c’est celle des êtres qui vous sont chers. La vôtre vous ne devriez rien avoir à en faire, vous ne serez pas vraiment présent pour la vivre et vous n’en souffrirez pas une fois réalisée.

    Mon ex mari a fait ses adieux de facebooker hier en annonçant qu’il avait atteint un stade évolué de Parkinson qui l’empêchait de continuer à écrire. Cette annonce, faite de manière détachée par lui, m’a brisé le coeur.

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